jeudi 10 février 2011

Je pourrais faire pire, Mais a quoi ça sert tant de texte pour ne rien dire?


Je me demande si les Français boudent volontairement les réseaux sociaux, ou alors certainement que nous sommes encore trop élitistes qu’il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes, ou alors certains ni trouvent aucun intérêt A moins que nous ne  sommes pas assez évolués pour comprendre ces nouvelles technologies qui paraissent aux yeux de certains(es) inaccessibles tant en moyen financier qu’en compréhension. Ou peut être, si on part sur le principe de Face book, ils n’ont pas d’amis ou pas assez pour former une communauté. 

Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, pourquoi se rejoindre sur Face book ? Si nous sommes vraiment amis (es). C’est quand même mieux de se voir, de se téléphoner ou alors d’utiliser ce bon vieux MSN. Pourquoi rendre sa vie publique comme sur Twitter ?
Pourquoi ? Ce besoin de partager avec le monde connecté sa pathétique existence et se rendre compte qu’on n’est pas tout seul à avoir une vie de merde. Pour chercher une solution, pour trouver une épaule qui vous consolera, mais c’est virtuel au final. On pleur sur son sort devant un écran. Ou on se rassure en constatant qu’il y a pire. De plus à quoi ça sert puisque la plupart du temps, c’est cacher derrière un pseudo qu’on ce livre au monde. C’est étrange ce comportement, est- ce vraiment sincère ? Ou est ce que c’est prêcher le faux pour savoir le vrai ? Dans le bute de cibler au mieux les profiles et d’adapter les publicités. 

 Suis-je en train de partager avec vous ma solitude peut être, mais bien que conscient de ne pas être un cas isoler, ma solitude et volontaire. En faisant un flash back sur mes géniteurs, je me rends compte que c’est programmer. Que ce soit du côté paternelle ou maternelle, les hommes de chez moi sont des ours mal léchés et solitaires, n’ayant besoin que d’une présence fantomatique, une ombre qui passe, nous suffit pour ce sentir moins seul. Etrange comportement qu’est le mien, en perpétuel quête de contacte, sans vouloir parler aux gens, tout en exerçant des métiers   de communications. Drôle de paradoxe. Chercher du contacte, mais quand j’en ai envie, c’est rare,  et sans attendre de réponse. Difficile à comprendre,  vous ai-je demandé de comprendre, je ne pense pas. Puisque c’est mon choix. Du coup je me rabats sur les réseaux sociaux et pour un cas social c’est bien normal et logique. Mais même là je trouve encore le moyen de m’y ennuyer. Souvent je pense à tout fermer voir même revendre le peut de matériel que j’ai. A quoi bon continuer puisque mon histoire et commune et que de toute façon je n’ai rien de transcendant à dire, comme beaucoup remarquez.

 Mais peut être que ceci n’est qu’un exutoire, un défouloir pour cracher sa haine du monde au monde. Ou un pseudo mépris. Et oui, parfois, pour attirer l’attention des autres quant on n’a pas de fortune ou une limitation cérébro -neuronale de non intérêt général, c’est de parler de ses problèmes, ou d’en inventer, ou de donner des solutions pour ne pas en avoir, c’est confus je sais. Normal un esprit tourmenté ne peut être claire. Du coup je me demande, sans me le demander vraiment, si les Français n’ont pas l’esprit aussi tourmenté que le mien pour générer cette peur de prendre d’assaut les réseaux. Peut être qu’ils n’en ont pas le temps ou que les antidépresseurs les empêchent de s’amuser ??? , ou alors est-ce ? un comportement typiquement Français que de ne pas se confier et de se rabattre pour les courageux connectés sur le social média marketing de référence au référencement  des nouvelles technologies 2.0 en prévision des tendances fashion géopolitiques commerciales visant à refourguer des réfrigérateurs aux esquimaux dans le bute de reformer la calotte glacière écologiquement polluante qui fond inexorablement nous entrainant inévitablement vers une fin douloureuse sans logement ni nourriture. A moins que débarquant dans ce monde virtuel, ils s’aperçoivent que les recommandations à suivre sont ennuyeuses à mourir car aucune interaction avec ceux-ci que leurs égocentrismes démesurés et leurs futiles découvertes d’application qui sauvera sans doute l’univers, pour le peut que vous ayez revendus un de vos membres, anatomiques ou pas, afin de l’acquérir sinon vous n’êtes rien et ne susciterez aucun intérêt. 

Je commence à comprendre, bien que cela fait longtemps et franchement je m'en moque, pourquoi les gens ne se connectent pas ? Ou ne restent pas longtemps.  

  A quoi ça sert les réseaux sociaux ? A quoi ça sert d’être informer de la misère en temps réel ? A quoi ça sert de voir que l’autre là, n’est pas content ou pas d’accord ? A quoi ça sert de savoir que l’autre pouf c’est fait cocufiée pendant qu’elle faisait du shopping dans une boutique de fringues pour chiens !? A quoi ça sert de rester cloitrer pour ne pas rater le dernier tweet qui ne va en aucun cas changer votre vie, ou de rester les yeux rivets sur l’I bidule dernier bordel au risque de rentrer dans un poteau ? A quoi ça sert de demander ou de suivre l’avis de quelqu’un qu’on ne connait pas ?  A quoi ça sert de se poser des questions sans attendre de réponse ou d’y répondre seul ?  A quoi ça sert de taper ce texte mal construit et sans aucun intérêt ?  A quoi ça sert de poser des questions  « à quoi ça sert » ?   

Réponse : A rien c’est juste pour faire reculer le schimili le schimilibilique.



PS: Vous n'avez rien compris, je ne peu rien faire pour vous, parce que moi non plus  je n'ai rien capté.
Si vous pensez que ce texte est triste,pathétique et inintéressant, c'est parce que vous l'êtes.

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